Comment utiliser un outil no-code ?

code informatique

La proximité d’une entreprise digitale avec sa clientèle est primordiale afin de réussir toute stratégie de fidélisation marketing. La diffusion d’outils no-code, customisés à l’image de l’entreprise et selon les besoins du marché constitue une alternative pertinente à ce problème. Découvrez, comment les utiliser.

L’outil no-code : définition

Avant, la conception et la création des applications et des outils informatiques nécessitaient la maîtrise des écritures de programmes informatiques. Ces derniers sont également appelés langage codé. À l’époque, seuls les développeurs d’application, les informaticiens et les agences-web pouvaient réaliser ces tâches. Désormais, grâce aux outils « no-code », la création d’outils métiers est désormais à la portée de toute personne ayant une notion en navigation web et en graphisme. En effet, l’objectif est de :

    • Multiplier le nombre de plateformes et d’outils de travail fonctionnels ;
    • Encourager les particuliers ainsi que les startups PME et TPE à créer et innover gratuitement leurs propres plateformes.

Les différents types d’outils no-code

La création d’une plateforme simple ou complexe est désormais possible, grâce aux outils no-code ou zeroqode. Pour une utilisation optimale de ces derniers, il est primordial d’en connaître les différents types. Les plus utilisés sont les suivants :

    • La création d’une application ;
    • La création d’une base de données ;
    • L’automatisation des flux, d’une prestation ou d’une action ;
    • L’élaboration des newsletters ;
    • L’affichage d’un API ;
    • La création d’un Chabot.

Les outils no-code les plus prisés

Le choix d’un outil no-code constitue un élément clé garantissant son efficacité et sa pérennité. Afin d’éviter toute erreur conceptuelle, il est préférable d’opter pour l’un des exemples d’outils no-code performants suivants :

    • Pour une application : Softr, V.One ou Infinable ;
    • Pour un site web : Weebly,Webflow, Spreadsimple ou Webydo ;
    • Pour une base de données : TimeTonic, Tadabase ou Infinity ;
    • Pour l’action d’automatisation : Parabola ou Intgromat ;
    • Pour un newsletter : Mailerlite, Flash Issue ou Tiny Letter ;
    • Pour un API : Blobr ou Sheety ;
    • Pour un Chabot : Joonbot, Opla ou Chatfuel.

Les conseils d’utilisation d’un outil no-code

Un outil no-code est facile à utiliser. Il contient toujours un programme de formation qui dure une heure au maximum. Afin d’en bénéficier, il suffit de cliquer sur « se former ». Cette formation consiste à indiquer les bases de l’outil no-code choisi, les renseignements obligatoires et complémentaires à indiquer durant la réalisation du projet. Ceci étant, vous pouvez ensuite cliquer sur « créer une plateforme ».

Rassurez-vous, il vous suffit de vous inspirer de la formation précédemment faite pour réussir à créer votre plateforme. En effet, le modèle est le même, le reste n’est qu’une question de personnalisation. Les principaux actions à entreprendre sont :

    • Choisir et confirmer la nature de la plateforme à créer ;
    • Suivre les indications du modules pré-construits (le modèle) ;
    • Renseigner tous les éléments demandés par l’outil no-code ;
    • Remplir minutieusement chaque page ;
    • Veiller à ce que les images utilisées soient libres de droit ;
    • Confirmer chaque modification faite.

Attention !!!

Il est important de noter que les fonctions d’un outil no-code sont limitées à la création d’une plateforme (application, site web, …) à partir d’une caricature pré-construite. Par conséquent, les travaux rédactionnels de remplissage et l’optimisation du référencement SEO n’y sont pas inclus. Ils doivent être effectués par le porteur de projet. Par exemple, il vous appartient de garnir le Home Page (HP) et les Landings Page (LP) de votre site web, avec les contenus de votre choix. Par ailleurs, la création des plateformes complexes nécessite une maîtrise de l’ergonomie physique et cognitive.

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